L'anesthésie générale
التخدير العام
Définition
التخدير العام
Définition
Au moins quatre millions d'anesthésies générales sont réalisées chaque année. Cet acte s'est banalisé mais suscite encore des angoisses, notamment la peur de ne pas se réveiller ou les conséquences sur la mémoire.
L'anesthésie générale a pour but d'endormir le malade et de supprimer la douleur. Il est alors possible d'opérer en toute tranquillité.
La respiration pendant l'opération
Lors des opérations courtes, la respiration se fait normalement. De l'oxygène est souvent donné par l'intermédiaire d'un masque, ce qui l'améliore.
Pour les opérations plus longues ou en cas d'intervention en urgence, il est préférable de réaliser une intubation. Celle-ci consiste à introduire un tube dans la gorge et le faire descendre dans la trachée et les poumons du patient.
Le malade respire alors de manière artificielle, grâce à un appareil. Le tube est, bien sûr, retiré après l'opération, et la personne respire à nouveau normalement.
L'anesthésie
Avant l'intubation, il faut endormir. Pour les enfants, on utilise le plus souvent un masque posé sur le visage. Le jeune respire alors le produit qui déclenche l'anesthésie.
Les adultes, eux, sont généralement endormis au moyen d'une perfusion. Une association de produits spécifiques passe dans le sang et déclenche le sommeil.
Trois produits sont utilisés pour l'anesthésie : les hypnotiques, la morphine et les curarisants.
Les hypnotiques sont des médicaments qui provoquent le sommeil. Au quotidien, ils sont souvent utilisés comme somnifères.
La morphine, elle, provient de l'opium. Elle agit au niveau du cerveau, pour bloquer la transmission de la douleur. Elle annule donc toute sensation douloureuse.
Quand au curare, c'était un poison utilisé par des Indiens pour paralyser leurs proies ou leurs ennemis. Il est à l'origine des curarisants employés en anesthésie, qui provoquent un relâchement musculaire complet, ce qui facilite grandement l'acte opératoire.
Ces curarisants agissent sur le messager nerveux qui commande les mouvements, l'acétylcholine. Celle-ci, produite par le cerveau, passe le long des nerfs puis dans le muscle, qui se contracte. Les curares empêchent cette transmission.
Les précautions
Quelques précautions sont nécessaires avant une anesthésie générale.
D'abord, il est nécessaire de ne rien manger pendant les six heures qui précèdent l'opération car le contenu de l'estomac peut passer dans les poumons pendant l'intervention, ce qui augmente le risque d'asphyxie.
Il ne faut pas non plus fumer car le tabac irrite les bronches dans les poumons. Il est alors plus difficile de respirer, ce qui peut provoquer une toux et les bronches peuvent se contracter anormalement au réveil.
Une heure avant l'anesthésie, on donne un comprimé au patient pour diminuer son angoisse et le relaxer. Cela facilite également l'endormissement.
Le réveil et les suites
En plus des réveils agités ou anxieux, des vomissements, liés aux produits utilisés, mais les plus récents ont moins d'effets secondaires, et une sensation de froid, due aux liquides froids que l'on passe dans le corps pendant l'intervention et à la rupture de la régulation de la température du corps, sont possibles.
De pus, il est recommandé de se lever doucement après le réveil, car celui-ci peut être accompagné de vertiges et de chute de tension.
Si certains patients se plaignent de perte de mémoire suite à une anesthésie générale (par exemple, ils ne se souviennent plus de leur réveil), une étude récente a montré que l'anesthésie ne causait aucun trouble de la mémoire, sauf chez les personnes âgées, plus fragiles.
Enfin, on se sent souvent fatigué après une anesthésie générale. Et cette fatigue peut durer plusieurs mois. On ne sait pas très bien l'expliquer cet état. Il peut être lié à une baisse des défenses immunitaires et à une plus grande sensibilité aux virus et autres microbes.
L'anesthésie générale a pour but d'endormir le malade et de supprimer la douleur. Il est alors possible d'opérer en toute tranquillité.
La respiration pendant l'opération
Lors des opérations courtes, la respiration se fait normalement. De l'oxygène est souvent donné par l'intermédiaire d'un masque, ce qui l'améliore.
Pour les opérations plus longues ou en cas d'intervention en urgence, il est préférable de réaliser une intubation. Celle-ci consiste à introduire un tube dans la gorge et le faire descendre dans la trachée et les poumons du patient.
Le malade respire alors de manière artificielle, grâce à un appareil. Le tube est, bien sûr, retiré après l'opération, et la personne respire à nouveau normalement.
L'anesthésie
Avant l'intubation, il faut endormir. Pour les enfants, on utilise le plus souvent un masque posé sur le visage. Le jeune respire alors le produit qui déclenche l'anesthésie.
Les adultes, eux, sont généralement endormis au moyen d'une perfusion. Une association de produits spécifiques passe dans le sang et déclenche le sommeil.
Trois produits sont utilisés pour l'anesthésie : les hypnotiques, la morphine et les curarisants.
Les hypnotiques sont des médicaments qui provoquent le sommeil. Au quotidien, ils sont souvent utilisés comme somnifères.
La morphine, elle, provient de l'opium. Elle agit au niveau du cerveau, pour bloquer la transmission de la douleur. Elle annule donc toute sensation douloureuse.
Quand au curare, c'était un poison utilisé par des Indiens pour paralyser leurs proies ou leurs ennemis. Il est à l'origine des curarisants employés en anesthésie, qui provoquent un relâchement musculaire complet, ce qui facilite grandement l'acte opératoire.
Ces curarisants agissent sur le messager nerveux qui commande les mouvements, l'acétylcholine. Celle-ci, produite par le cerveau, passe le long des nerfs puis dans le muscle, qui se contracte. Les curares empêchent cette transmission.
Les précautions
Quelques précautions sont nécessaires avant une anesthésie générale.
D'abord, il est nécessaire de ne rien manger pendant les six heures qui précèdent l'opération car le contenu de l'estomac peut passer dans les poumons pendant l'intervention, ce qui augmente le risque d'asphyxie.
Il ne faut pas non plus fumer car le tabac irrite les bronches dans les poumons. Il est alors plus difficile de respirer, ce qui peut provoquer une toux et les bronches peuvent se contracter anormalement au réveil.
Une heure avant l'anesthésie, on donne un comprimé au patient pour diminuer son angoisse et le relaxer. Cela facilite également l'endormissement.
Le réveil et les suites
En plus des réveils agités ou anxieux, des vomissements, liés aux produits utilisés, mais les plus récents ont moins d'effets secondaires, et une sensation de froid, due aux liquides froids que l'on passe dans le corps pendant l'intervention et à la rupture de la régulation de la température du corps, sont possibles.
De pus, il est recommandé de se lever doucement après le réveil, car celui-ci peut être accompagné de vertiges et de chute de tension.
Si certains patients se plaignent de perte de mémoire suite à une anesthésie générale (par exemple, ils ne se souviennent plus de leur réveil), une étude récente a montré que l'anesthésie ne causait aucun trouble de la mémoire, sauf chez les personnes âgées, plus fragiles.
Enfin, on se sent souvent fatigué après une anesthésie générale. Et cette fatigue peut durer plusieurs mois. On ne sait pas très bien l'expliquer cet état. Il peut être lié à une baisse des défenses immunitaires et à une plus grande sensibilité aux virus et autres microbes.
L'anesthésie générale التخدير العام
1 التعليقات:
slm hebit nesa9sikom ana dit le bac dyali be 11.98 mathelaime we rani haba ndir paramedicale specialité l'anesthésie générale es_que ye9ebloni psc la note de science moins de 10 we ila ye9olona mel lowel wla nestenaw aide moi svp ila sur ye9ebloni et merci
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